L’assassin de "Manon" sera-t-il condamné par la Justice ?
Un dimanche matin, au réveil, notez-bien la date sur votre calepin ! Puis attendez que s’écoule une semaine.
Pendant ce laps de temps, deux femmes auront trouvé la mort sous les coups de leurs époux ou de leurs conjoints.
Pour mieux visualiser ce drame récurent de la vie de certains couples, arrêtez-vous devant la terrasse d’un café, n’importe où en France. Regardez bien toutes les femmes qui s’y trouvent, joyeuses et rieuses, jeunes ou plus âgées. Elles jouissent toutes de la vie, insouciantes et heureuses ! Pleines de vie.
Comptez-en deux. C’est facile !
Dites-vous qu’elles seront mortes, avant la fin de la semaine.
Et nous pensons vivre dans un pays … civilisé !
Ce ne sont que des chiffres statistiques. Bornés !
Mais absolument réels !
Cela doit cesser !
Si les lois ne parviennent pas à endiguer ces statistiques macabres … et bien il faut changer les lois !
Manon, jeune provençale, native d’Aubagne, Professeure des Écoles, avait épousé son grand amour.
Jack, un Malouin, vainqueur de la Route du Rhum, mais aussi agrégé de Lettres Modernes et professeur à la Sorbonne. Il était aussi écrivain ayant connu un certain succès et accessoirement … beau comme un Dieu Grec !
C’était - et resterait - le "Grand Amour" de sa vie.
Ils avaient mis au monde – fruits de leur incommensurable amour - Lou et Fleur, deux magnifiques et "coquinettes" petites filles.
Et leur couple, enorgueilli par ces deux rayons de félicités, suscitait l’admiration de tous, à Saint-Germain-des-Prés où ils animaient la vie culturelle germanopratine.
Jack donnait des Conférences dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne, qui attiraient des auditeurs venus du monde entier, notamment des Universités Américains de prestige.
Manon tenait bénévolement des permanences à la bibliothèque municipale au cours desquelles elle recevait des écrivains inconnus, mais très talentueux. Elle faisait aussi des lectures, pour les seniors, qui la vénéraient, pour ces instants de pur bonheur.
Tous deux organisaient, une fois par mois, un "Café Littéraire", dans l’arrière-salle d’une grande Brasserie du Boul’mich. Ce salon convivial recevait un grand succès ! Des écrivains connus venaient présenter leurs derniers romans.
ls étaient brillants et adulés
Leur bonheur insolent … pouvait-il durer ?
La "Grande Faucheuse", avec sa sale goule édentée et sa faux aiguisée, veillait !
Jack fût tué, un dimanche matin, alors que, sur son vélo, il allait pratiquer son sport hebdomadaire, au Bois de Boulogne, sur le circuit des cyclistes amateurs nommés Jean-Paul Belmondo, Jacques Balutin, André Pousse et Michel Drucker et bien d’autres, qui tournait en peloton, sur un circuit immuable. C’était une jolie bande !
Porte Maillot, au petit matin, il avait été heurté par deux sinistres chauffards, à bord d’un cabriolet Mercedes volé, le nez bourré de coke.
Les voyous avaient pris la fuite.
Manon attendit quatre ans, avant que le souvenir de son Jack, ne s’estompe de son cœur. Au bout de ce long temps de deuil - pour une jeune-femme de vingt-huit ans - elle rencontra Ludovic.
Elle imagina retrouver le bonheur avec lui.
Parce qu’elle était terriblement femme et sublime … forcément sublime !
Et "l’Indicible" fût commis par le nouvel aimant.
Il tua Manon, de ses poings nus, un soir où il était rentré à leur domicile, saoul comme un Cosaque du Don.
Ce roman est l’histoire banale d’un féminicide de la vie ordinaire !
Comme il s’en commet un tous les trois jours dans le doux pays de France.
La Justice qui n’avait pas su prévoir le prévisible, saura-t-elle condamner fermement ’Indicible ?
Merci de me donner, après votre lecture, votre avis (positif ou non)
Bien à vous
Luc Boutet[LB1]
Contact :
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